Cette façade tout en trompe-l’œil est superbe. On y croit vraiment, et le jardin suspendu que l’on devine au travers des deux arches du deuxième étage accentue le réalisme de cette fresque.
Au rez-de-chaussée, les deux fenêtres sont entrouvertes et le vent qui se glisse à l’intérieur de la maison fait vibrer les rideaux.
Au premier étage, les reflets des arbres dans les vitres sont si bien faits que l’on pourrait se faire facilement tromper.
Une réalisation qui pourrait paraître assez simple, mais qui se marie parfaitement dans son environnement et améliore notablement le cadre de cette petite ruelle (Trompe-l’œil situé à une vingtaine de mètres de celui qui se trouve également dans cette galerie).
Lionel Gripon et Alain Sangouard - Déc
2003
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